-
Sur la première photo, il faisait beau,
Poupette n'avait pas mis son manteau...
Mais là depuis plusieurs jours, le froid est revenu,
alors, on a ressorti son petit paletot.
Elle n'aime pas du tout le mettre et elle fait des histoires.
Mais tant pis, sinon pas de sorties...
De toute façon, pas de balades ce week-end,
il a fait un froid vif et pénétrant.
Nous avons eu des rafales de vent et des averses...
Je vous souhaite une bonne semaine, amitiés, fanfan
8 commentaires -
Je te promets le sel au baiser e ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets ma vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au revoir
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides à y croire encore
Si les mots sont usés, comme écris à la craie
On fait bien des grands feu en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J'te promets un moment de fièvre et de douceur
pas toute le nuit mais quelques heures ...
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à me main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuitssoient douces...Année 1986, chantée par Johnnyparoles de Jean Jacques Golman
Cette chanson m'émeut, parmi beaucoup d'autres...
PLUS JAMAIS DES ADIEUX RIEN QUE DES AU REVOIR
4 commentaires